Je fais un don 
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Aujourd’hui, 200 000 nouveaux cas de lèpre sont dépistés chaque année, et 3 à 4 millions de personnes vivent avec des séquelles irréversibles liées à la maladie.
Avec votre aide, nous pouvons changer leur vie.
soit 25 € après déduction fiscale
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, la lèpre existe encore et frappe 1 personne toutes les 3 minutes dans le monde. La Fondation Raoul Follereau se mobilise depuis plus de 70 ans pour éliminer cette maladie et soutenir ceux qui en souffrent.
Voir plus
70€
Soit 17,50€ après déduction fiscale
vous prévenez la propagation de la maladie en Côte d’Ivoire en finançant un dispositif de lavage des mains
120€
Soit 30€ après déduction fiscale
vous financez une tournée médicale hebdomadaire de 3 professionnels dans les villages au Bénin pour dépister et soigner les malades
220€
Soit 55€ après déduction fiscale
vous changez la vie d’un malade de la lèpre à Madagascar en bénéficiant d'une prothèse médicale
350€
Soit 87,50€ après déduction fiscale
vous financez une opération de la cataracte à un patient au Bénin souffrant de complications liées à la maladie
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75% de votre don à la Fondation Raoul Follereau est déductible de votre impôt sur le revenu.
*La Fondation Raoul Follereau est reconnue d’Utilité Publique : en lui faisant un don, vous bénéficiez d’une réduction fiscale de 75% des sommes versées, dans la limite de 1 000 € par an puis au-delà de 66% dans la limite de 20% de vos revenus imposables .
Ainsi, un don de 100 € ne vous coûte réellement que 25 €.
C’est l’opportunité de transformer votre générosité en un soutien direct aux personnes touchées par la lèpre.
N’attendez pas ! Effectuez votre don avant le 31 décembre 2024
pour qu’il soit déductible de vos impôts en 2025
La Fondation Raoul Follereau est reconnue d’Utilité Publique ainsi chaque don à la Fondation ouvre droit à une réduction d'impôt de 75 % du montant donné, dans la limite de 1 000 € par an. La fraction des dons qui excède ce plafond fait l'objet d'une réduction d'impôt au taux de 66 %, dans la limite de 20 % de votre revenu imposable.
Vos dons à la Fondation peuvent également être déduits à hauteur de 75 % de l'Impôt sur la Fortune Immobilière (IFI), dans la limite de 50 000 € par an.
Don en ligne depuis notre plateforme 100% sécurisée via la carte bancaire, PayPal ou un virement instantané, ou encore par chèque sont les modes de paiement possibles pour soutenir nos actions contre la lèpre.
Vous pouvez soutenir le combat contre la lèpre en faisant un don par chèque. Il vous suffit d’éditer votre chèque à l’ordre de « Fondation Raoul Follereau », et de l’envoyer par voie postale à l’adresse suivante : Fondation Raoul Follereau | Service relations donateurs | 31 rue de Dantzig | 75015 Paris.
Labellisée « Don en Confiance », la Fondation s'engage, dans la gestion de vos dons, à respecter les principes de transparence, de probité et d’efficacité. Vos dons servent à financer des actions concrètes comme le dépistage, les soins, la réhabilitation des malades et la mise en place de programmes sociaux dans les zones endémiques.
En 2023, 76% des fonds reçus ont directement financé ces missions. Le reste étant utilisé pour les frais de gestion et de collecte de fonds, nécessaires pour assurer la pérennité et l'efficacité de nos actions.
Vous pouvez exprimer votre générosité tout au long de l’année, via un ou plusieurs dons ponctuels ou sous forme de dons réguliers. Pour être déductibles de l’impôt sur le revenu l’année suivante, vos dons doivent être effectués avant le 31 décembre de l’année en cours.
Laurie, Mamizara et Tiavinjara
sont les enfants d'une ancienne malade de la lèpre qui les a élevés seule, dans la région de Port Bergé à Madagascar. Pour la soutenir, la Fondation Raoul Follereau finance les bourses scolaires des deux collégiens et de Laurie, étudiante en agriculture.
Cette aide permet d’envisager un avenir plus serein à l’ensemble de la famille.
Laurie « j’aimerais vous donner de grandes choses pour vous remercier, mais je ne peux vous offrir que ma joie intérieure ».
À son adolescence, apparaissent sur le corps de Bernardin originaire de Beke au Bénin, des nodules puis des plaies. Il n'a pas encore conscience d’être malade de la lèpre. Après plusieurs passages à l'hôpital, il est dirigé vers le Centre de Traitement de la Lèpre de Ouidah où, à 17 ans, il reçoit un traitement qui améliore son état. Aujourd'hui, il garde des séquelles aux mains... et souffre de douleurs plantaires.
À sa guérison, la responsable du Centre l’aide à réfléchir à son avenir et à un métier compatible avec son handicap. Il choisit de devenir couturier et commence un apprentissage. Lorsque son premier maître couturier ferme son atelier, il doit trouver un nouveau patron mais n’a pas les moyens de payer la suite de son apprentissage. La Fondation Raoul Follereau, va alors financer sa formation lui permettant de poursuivre son apprentissage et de réussir son examen d'État. A 27 ans, il est désormais reconnu pour son travail ! L'école mobile lui a également permis d'apprendre à lire, écrire et compter.
Reconnaissant envers son patron et la Fondation, Bernardin espère subvenir aux besoins de sa mère et ses sœurs, tout en continuant à évoluer dans la couture.
La vie d’Assiba n'a pas été toujours facile ! À 6 ans, elle est frappée par la lèpre mais pendant 15 ans, elle souffre, sans soins adaptés, dans l’indifférence générale. Jusqu'à ce qu'une religieuse convainque ses parents de l'emmener au Centre de Traitement de la Lèpre de Ouidah. Le diagnostic est sévère : Assiba a développé une forme avancée de la lèpre, ...accompagnée d’une grave complication. À 22 ans, son état est critique, mais après 3 années de traitement, elle guérit enfin.
De retour chez elle, Assiba se marie et devient mère de Jérémie. Mais de nouvelles épreuves la frappent : le père les abandonne, et elle doit retourner au Centre pour soigner une nouvelle maladie. Entre soins et cicatrisation, elle y découvre le programme de réinsertion de la Fondation Raoul Follereau, qui lui permet de se former en élevage de volailles et de retrouver une véritable place au sein de la société.
Aujourd'hui, Assiba est pleinement épanouie dans son activité. Jérémie, 6 ans, poursuit ses études et rêve de devenir agent de santé. Son fils ne présente à ce jour aucune lésion de la lèpre : il est plus que jamais pour nous, le visage de l’avenir sans lèpre.